Pour ceux qui suivent ce blog avec un peu d'attention, et je sais qu'il y en a, le titre de ce billet fait référence à au moins deux autres précédents : celui-ci pour le titre et celui-là pour la date. Mais pour moi, c'est surtout le droit de suite de mes deux mois sans rien poster et de mes conclusions partielles sur ma pratique du noir et blanc numérique.
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Pourquoi je prends des photos chaque 11 novembre ? Ça ne s'explique pas particulièrement par une célébration de l'armistice, ne vous en déplaise. C'est juste que... c'est un jour férié, et cette année en plus c'était un dimanche, et en plus le dernier jour de mes vacances, et en plus la fin de mon déménagement dans une nouvelle maison, et en plus la fin d'un week-end entre amis. Alors... le déclencheur se fait plaisir, l'obturateur central se détend, la pellicule se déroule puis s'enroule sur elle-même.
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Pourquoi cette année je les ai développées tout de suite ? A cause de la frustration de ne plus développer. Grâce aussi à vos réactions dans les commentaires, qui me redonnent à chaque fois envie de découvrir ces photos du quotidien. Parce que le temps passant je déclenche beaucoup, j'en remplis un frigo entier de pellicules exposées, je continue de déclencher même quand je ne ressens plus l'envie de développer.
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Alors voici quelques images d'une promenade matinale sur le front de mer. Et puis le même jour, dans les dernières lueurs, d'autres images d'un petit tour dans mon nouveau quartier.
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Je les ai faites au Konica IIIA de 1958 avec de la pellicule Kodak Tri-X qui aura bientôt disparu, développée dans un reste de révélateur Kodak Xtol retrouvé au fond d'un placard lors du déménagement. J'espère qu'elles vous plairont.
Konica IIIA and Konica IIIM rangefinder cameras : Beauty and the Beast par Dante Stella
The Idiosyncratic Konica IIIA par Ross Orr
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