mercredi 5 mars 2014

Nantes je t'aime

Même si j'ai souvent abandonné ce blog sur des périodes assez longues, je crois que je n'ai jamais autant procrastiné que pour écrire ce billet. Le titre, pourtant, je l'ai en tête depuis des semaines et des mois. Le contenu ? C'est un peu la suite des deux billets "N'être pas chez soi", finalement...




Depuis l'automne, j'ai passé beaucoup de temps à Nantes. De plus en plus. J'ai dû prendre quelques photos, sans doute. Elles ne sont pas encore développées pour la plupart. J'ai failli vingt fois arrêter la photo pour de bon, mais j'ai comme l'impression que je vais au contraire continuer de plus belle.




Nantes je t'aime pour tes quartiers, pour tes pierres, pour tes passants. Pour tes lumières en fin de journée, pour ton soleil au bord de l'Erdre. Nantes un jour j'aimerais habiter chez toi. Ça fait dix ans que je vis dans ce département, dix ans que je te tourne autour, dix ans que tu m'attends.

Nantes je t'aime et parfois, Nantes, je ne t'aime pas.

samedi 1 mars 2014

Les mots d'Henri


« Il faut réfléchir tout le temps, sauf quand on photographie»

« Nous sommes des aventuriers. Il y a la vie de tous les jours qui palpite et qui fout le camp. On est là et bouh ! Moi je suis un paquet de nerfs et j'en profite énormément... de ça. »

« Il ne faut pas vouloir : il faut être disponible, réceptif. Cézanne disait "quand je peins et que je me mets à penser, tout fout le camp"»

« Ce qui compte c'est ce qu'on fait demain matin, et dans une minute, et maintenant. »


— Henri Cartier-Bresson
in "Le siècle de Cartier-Bresson" par P. Assouline, Arte TV